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  • LARMES D'UNE FEMME
Un petit garçon demande à sa mère « Pourquoi pleures-tu? »

Parce que je suis une femme » lui répond-elle.

Je ne comprends pas » dit-il.

Sa mère l'étreint et lui dit « Et jamais tu ne réussiras. »

Plus tard le petit garçon demanda à son père :

Pourquoi maman pleure-t-elle sans raison ? »

Toutes les femmes pleurent sans raison » fut tout ce que son père put lui dire.

Le petit garçon grandit et devint un homme, toujours se demandant pourquoi les femmes pleurent aussi facilement.
 
Finalement il appela Dieu; quand Dieu répondit au téléphone, il demanda
« Seigneur, pourquoi les femmes pleurent aussi facilement ? »

Dieu répondit:

« Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale. J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde; mais quand même assez douces pour être confortables ».
« Je lui ai donné une force intérieure pour endurer les naissances et le rejet qui vient souvent de ses enfants. »

« Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne et prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue, sans se plaindre. »

« Je lui ai donné la sensibilité pour aimer ses enfants dans n'importe quelle circonstance quand ces derniers l'ont blessée très durement. »

« Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et je l'ai faite d'une de ses côtes pour protéger son coeur. »
 
« Je lui ai donné la sagesse de savoir qu'un bon époux ne blesse jamais sa femme, mais que quelques fois il teste sa force et sa détermination à demeurer à ses côtés sans faiblir. »

 « Et finalement je lui ai donné une larme à verser. Cela est exclusivement à son usage personnel quand elle le juge bon. »

 « Tu vois : La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans le visage qu'elle montre, ou dans la façon de se peigner les cheveux. »
 

 « La beauté d'une femme doit être dans ses yeux, parce que c'est la porte d'entrée de son coeur - la place où l'amour réside. »

Toutes les femmes sont belles.
 
  • RECOMMENCE
 Si tu es las et que la route de parait longue
Si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin
Ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps
RECOMMENCE
 
Si la vie de semble trop absurde
Si tu es déçu par trop de choses et trop de gens Ne cherche pas à comprendre pourquoi :
RECOMMENCE!
 
Si tu as essayé d'aimer et d'être utile Si tu as connu la pauvreté et les limites Ne laisse pas là une tâche à moitié faite
RECOMMENCE!
 
Si tous les autres te regardent avec reproche
S'ils sont déçus par toi, irrités,
Ne te révolte pas, ne leur demande rien:
 RECOMMENCE!
 
Car l'arbre rebourgeonne en oubliant l'hiver Car le rameau fleurit sans demander pourquoi
Car l'oiseau fait son nid sans songer à l'automne
Car la vie est espoir
ET TOUT RECOMMENCE!
 
  •  Je suis reconnaissant
 
Ø      A l'adolescent qui se plaint de faire la vaisselle à faire puisque cela signifie qu'il est à la maison et non dans la rue.
 
Ø      Aux impôts que je paie puisque cela signifie que j'ai un emploi.
 
Ø      Au ménage à faire après une fête car cela signifie que j'étais entouré d'amis
 
Ø      A mes vêtements qui sont un peu trop serrés, puisque cela signifie que je mange à ma faim.
 
Ø      A mon ombre qui veille sur moi au travail puisque cela signifie que je suis en pleine lumière.
 
Ø      A la pelouse qui a besoin d'être tondue, aux fenêtres qui ont besoin d'être nettoyées, aux gouttières qui ont besoin d'être fixées, puisque cela signifie que j'ai un toit.
 
Ø      Au dernier stationnement que j'ai trouvé au bout de la rue, puisque cela signifie que je suis capable de marcher.
 
Ø      A ma grosse facture de chauffage puisque cela signifie que je suis au chaud.
 
Ø      A la personne assise en arrière de moi à la salle, et qui chante faux car cela signifie que j'entends.
 
Ø      A ma pile de linge à nettoyer et à repasser puisque cela signifie que j'ai des vêtements à porter.
 
Ø      A l'épuisement et à la douleur musculaire à la fin d'une journée puisque cela signifie que je suis capable de travailler dur physiquement.
 
Ø      A la sonnerie de mon réveil - matin puisque cela signifie que je suis vivant.
 
Et finalement à tous les E.Mails que je reçois car cela signifie que j'ai des amis qui pensent à moi. Amitiés à tous
 
  • L'UNIQUE DÉFAUT DE LA FEMME...
 Au moment où Dieu créa la femme, il était dans son sixième jour de travail.
 Un ange apparut et demanda : "Pourquoi passes-tu autant de temps sur celle-là ?"
 Et Dieu répondit : "As-tu vu ma feuille de spécifications pour elle ?
 Il faut qu'elle soit complètement lavable, mais pas en plastique, qu'elle ait plus de 200 parties qui bougent, toutes remplaçables et qu'elle puisse fonctionner avec du Coca Light et les restes du dîner, qu'elle ait les genoux qui puissent accueillir quatre enfants en même temps, qu'elle ait un bisou qui puisse tout guérir que ce soit un genou écorché ou un chœur brisé et qu'elle fasse tout uniquement avec deux mains."
L'ange était étonné qu'il y ait autant de spécifications.
"Uniquement deux mains ? Impossible! Et celle-ci n'est que le modèle courant ? Cela fait trop de travail pour une journée. Attend demain pour finir."
"Mais je ne le ferai pas" protesta Dieu. "Je suis si près de finir cette création qui me tient à coeur. Déjà elle sait se guérir lorsqu'elle est malade ET peut travailler 18 heures par jour."
L'ange s'approcha et toucha la femme. "Mais Dieu, tu l'as créée si douce."
"Elle est douce", accorda Dieu, "mais je l'ai également créée forte.
Tu n'as aucune idée de ce qu'elle peut endurer ni accomplir."
Saura-t-elle réfléchir ?", demanda l'ange.
Le Seigneur répondit : "Non seulement elle sera capable de réfléchir mais elle sera capable de raisonner et de négocier."
L'ange remarqua ensuite quelque chose et, tendant la main, toucha la joue de la femme."Oh la la, il semblerait que ce modèle-là ait une fissure. Je te  l'avais dit que tu essayais d'en mettre trop dans ce modèle."
"Ceci n'est pas une fissure", corrigea le Seigneur, "c'est une larme!"
"À quoi sert-elle la larme ?" demanda l'ange.
Le Seigneur dit : "La larme est sa façon d'exprimer sa joie, sa peine, sa douleur, sa déception, son amour, sa solitude, son deuil et sa fierté."
L'ange était impressionné. "Mon Seigneur, tu es un génie. Tu as pensé à tout ! La femme est si extraordinaire !! "
Et elle l'est ! Les femmes ont des forces qui étonnent les hommes.
Elles traversent des épreuves et portent des fardeaux, mais elles contiennent du bonheur, de l'amour et de la joie.
Elles sourient quand elles ont, en réalité, envie de hurler.
Elles chantent quand elles veulent pleurer.
Elles pleurent lorsqu'elles sont contentes et rigolent lorsqu'elles sont nerveuses.
Elles se battent pour défendre leurs croyances.
Elles prennent position contre l'injustice.
Elles n'acceptent pas un "non" lorsqu'elles croient qu'une meilleure solution existe.
Elles se privent pour que leur famille puisse en avoir.
Elles accompagnent un(e) ami(e) terrorisé(e) chez le médecin.
Elles aiment sans condition.
Elles pleurent lorsque leurs enfants se surpassent et se réjouissent lorsque leurs amis obtiennent des récompenses.
Elles sont contentes à l'annonce d'une naissance ou d'un mariage.
Elles ont leur coeur brisé au décès d'un ami.
Elles pleurent la perte d'un membre de la famille, et malgré tout sont si fortes alors qu'elles pensent n'avoir plus de forces.
Elles savent que le fait d'être serré dans les bras ou de recevoir un bisou peut guérir un coeur brisé.
Les femmes sont de toutes formes, tailles et couleurs.
Elles prendront le volant, voleront, marcheront, courront ou vous enverront un courriel pour vous montrer combien vous comptez pour elles.
Le coeur d'une femme est ce qui fait tourner le monde.
Elles apportent de la joie, de l'espoir et de l'amour.
Elles ont de la compassion et des idéaux.
Elles donnent du soutien moral à leurs famille et amis.
Les femmes ont des choses vitales à dire et tout à donner.
Néanmoins, S'Il N'EXISTE QU'UN DEFAUT CHEZ LES FEMMES, C'EST QU'ELLES OUBLIENT LEUR VALEUR !
  • Olivier Clerc,
 
écrivain et philosophe, a envoyé un petit conte d'une grande  richesse  d'enseignement.
Il s'agit du principe de la grenouille chauffée : Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage  tranquillement une grenouille.
 - Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle  est  bientôt tiède.
 
- La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
 
La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude.
 C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un  peu,  mais elle ne s'affole pas pour autant.
 
 - L'eau est cette fois vraiment chaude.
 
La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est  affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.
 
- La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille  va  tout simplement finir par cuire et mourir.
 
- Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui  l'aurait  éjectée aussitôt de la marmite.
 
Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une  manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la  plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.
 
- Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis  quelques  décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons.
 
Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40  ans,  ont été peu à peu banalisées, édulcorées, et nous dérangent  mollement à  ce jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.
 
AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés  individuelles, à la dignité du vivant, à l'intégrité de la nature, à la  beauté et au bonheur de vivre, s'effectuent lentement et inexorablement  avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.
 
Les noirs tableaux annoncés pour l'avenir, au lieu de susciter des  réactions et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie décadentes, voire DRAMATIQUES. Le GAVAGE PERMANENT d'informations de la part des  médias sature les cerveaux qui n'arrivent plus à faire la part des choses...
Lorsque j'ai annoncé ces choses pour la première fois, c'était pour  demain.
 
Là, C'EST POUR AUJOURD'HUI.
Alors si vous n'êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits,  donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard.
 
SOMMES NOUS DEJA A MOITIÉ "  CUITS "  ?
  • Histoire du porteur d'eau
 
Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.  L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toutes son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.

Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
"Pourquoi ?" Demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?" "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant  ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée. Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein  de compassion, répondit: "Pendant que nous retournons à la maison du maître,  je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin".
 
Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la  vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle  se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.
Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite?
C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et  j'en ai tiré parti.

J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.

Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître.  Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses.
Morale de l'histoire:
Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres,  certains sont chauves, comme moi , d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes !
Vous devez prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux.

  • Aux femmes exceptionnelles !!!

Monsieur et Madame regardent la télévision, quand tout à coup Madame dit :
"Je suis fatiguée et il se fait tard, je crois que je vais aller me coucher. »
Elle se rend à la cuisine pour préparer les petits déjeuners du  lendemain, rince tous les bols de pop-corn, sort de la viande du congélateur pour le souper du lendemain soir, vérifie qu'il reste des céréales, remplit la boite à sucre,
met des cuillères et des  bols sur la table et  prépare le café pour le lendemain matin.
Puis elle met le linge dans le sèche-linge, met une autre brassée dans la machine à laver, repasse un chemisier et recoud un bouton.
Elle ramasse les journaux qui gisent sur le plancher, des pièces de jeux qui traînent sur la table et remet l'annuaire téléphonique en place.
Elle arrose les plantes, vide les paniers de linge et étend les serviettes pour les faire sécher.
Elle baille et s'étire et, se dirigeant vers la chambre à coucher, elle s'arrête près du bureau, écrit une note au professeur de son fils, lui sort de l'argent et ramasse un livre de classe qui traînait sous une chaise.
Elle signe une carte de fête pour un ami, adresse et colle un timbre sur l'enveloppe.
Elle écrit une petite liste pour l'épicerie.
Elle met l'enveloppe et la liste près de son sac. Elle ajoute trois choses à faire sur sa liste du lendemain.
Elle se rend à la salle de bains, s'applique de la crème sur le visage, se brosse les dents puis se fait les ongles.
Son mari lui dit : "Je croyais que tu allais te coucher !"
"J'y vais", répond-elle.
Elle remplit le bol d'eau du chien et met le chat dehors, puis elle s'assure que les portes sont fermées.
Elle fait le tour des chambres des enfants, donne une pastille à celui qui tousse, replace une  lampe, raccroche une chemise, met les chaussettes sales dans la corbeille à linge et échange quelques mots avec un des adolescents qui est encore à faire ses devoirs.

Une fois rendue dans sa chambre elle programme l'alarme de son réveil,  sort ses vêtements pour le jour suivant, replace le support à chaussures.
Pendant ce temps, son mari ferme le téléviseur et dit tout bonnement :"Moi aussi je vais me coucher", il se rend dans la chambre et se couche...
 
 Cela vous rappelle-t-il quelqu'un que vous connaissez ou que vous  avez connu ???
De plus, elle doit toujours être jolie, sexy, souriante, de bonne humeur, pas chiante.  .
 
  • Un jour,  les couleurs du monde ont commencé à se quereller.

Chacune disait qu'elle était la plus belle.
la plus importante. la plus utile. la favorite!

Vert  dit :

Je suis définitivement la plus importante.
Je suis le signe de la vie et de l'espoir.
J'ai été choisie par les champs, les arbres et les feuilles. 
Sans moi, les animaux ne vivraient pas.
Regardez un pré de montagne et vous constaterez que je suis majoritaire.

Bleu  l'interrompt :

Tu ne penses qu'en fonction de la terre mais considère le ciel et la mer.  C'est l'eau qui est la base de la vie.
Le ciel offre l'espace, la paix et la sérénité.

Jaune  riait sous sa cape :

Vous êtes tellement sérieuses vous autres ! 
Moi, j'apporte le rire, la gaieté, la chaleur dans le monde.
Le soleil est jaune et les étoiles aussi.
Chaque fois que vous regardez un tournesol, le monde entier se met à rire. 
Sans moi, il n'y aurait pas de plaisir.

Orange  n'est pas d'accord :

Je suis la santé et la force.  Je suis précieuse parce que j'apporte de la vie à l'humanité. Je transporte les plus importantes vitamines.
Pensez aux carottes, citrouilles, oranges, mangues et papayes.
Je ne suis pas toujours là à l'année, mais quand j'éclaire le ciel à mon lever et à mon coucher, ma beauté est telle que personne ne pense à aucun d'entre vous.

Rouge  ne peut s'empêcher de crier :

Je suis la vie de chacun de vous.  Je suis le sang. le sang de votre vie.
Je suis la couleur du danger ou de la bravoure. 
Je suis toujours prête à me battre pour une bonne cause.
Je suis la couleur de la passion et de l'amour.

Violet se lève de toute sa grandeur. 
Elle est très grande et dit avec grande pompe :

Je suis la couleur royale, la couleur du pouvoir.
Les rois, les chefs et les archevêques m'ont toujours choisie parce que je suis le signe de l'autorité et du pouvoir.
Les gens ne me questionnent jamais ! Ils écoutent et obéissent.

Indigo se lève à son tour :

Pensez à moi.  Je suis la couleur du silence. 
Vous ne me remarquez pas mais sans moi, vous deviendrez superficielles.
Je représente la pensée et la réflexion, la nuit et les eaux profondes. 
Vous avez besoin de moi pour votre équilibre.

Et toutes ces couleurs sont parties, chacune convaincue de leur unique supériorité.
Leur querelle est devenue de plus en plus importante avec les jours.

Soudainement, un éclair apparut et un bruit de roulement tonnerre se fit entendre.
La pluie se mit à tomber.  Les couleurs ayant très peur se sont toutes rapprochées les unes des autres pour se réconforter.

Au milieu de la clameur.

Pluie est apparue :

Vous autres, stupides couleurs, vous disputant, chacune essayant de dominer l'autre.  ne savez-vous donc pas que vous êtes toutes faites pour un besoin unique et spécial ?
Joignez-vous et venez à moi.

Faisant ce qu'on leur demandait, les couleurs se sont réunies.

Pluie a continué à parler :

À partir de maintenant, quand il pleuvra, chacune de vous  s'étirera dans le ciel en une demi boucle pour vous rappeler
que vous pouvez vivre dans la paix.

Cet arc-en-ciel sera un signe d'espoir pour demain. 
Et quand une grosse pluie lavera le monde et qu'ensuite l'arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel, souvenez-vous de vous apprécier l'une et l'autre.

 L'amitié est comme un arc-en-ciel.
 
  • LE PETIT GARÇON ET LES BALLONS 
     Un petit noir regarde un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux brillent. Il y a des ballons de toutes les couleurs, rouges, bleus, blancs, noirs, jaunes...

Le vieux monsieur qui vend les ballons voit le garçon qui hésite, puis prend son courage à deux mains et s'approche de lui.

"Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut que les autres ?"

Le vieux Monsieur a presque la larme à l'oeil. Il prend le garçon dans les bras, l'installe sur un muret et lui dit :

"Regarde"

Il lâche tous ses ballons qui s'envolent en grappe et montent,montent, montent dans le ciel jusqu'à disparaître tous tellement ils sont hauts.

"Tu as vu ?"


"Oui"

"Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les autres ?"

"Oui Monsieur"

"Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes.
L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur.
Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y a en toi qui fera toute la différence dans ta vie."
 
  • "Il était une fois, une île où tous les différents sentiments
    vivaient: Le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour
    y compris.

    Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent
    donc tous leurs bateaux et partirent.

    Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.

    Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide.

    La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour
    lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?"
    "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi."

    L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau.
    "Orgueil, aide moi je t'en prie !"
    "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon
    bateau."

    La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda,"Tristesse, laisse moi venir
    avec toi.".
    "Oh! Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule!"

    Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler !

    Soudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi."

    C'était un vieillard qui avait parlé. L'Amour se sentit si reconnaissant et
    plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard.

    Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.

    L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir : "Qui m'a aidé?"
    "C'était le Temps" répondit le Savoir.
    "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.
    "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"
    Le Savoir sourit, plein de sagesse et répondit : "C'est parce que seul le
    Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie"

  • L'ABC DE L'AMITIE
 
l'Ami accepte qui vous êtes
Berce vos peines
Crois en vous
Donne sans condition
Envisage l'intégrité en vous (même les bouts inachevés)
Fait une différence dans votre vie
Garde vos secrets
Habite votre coeur
Invite pour un café
Juste pour le plaisir
Kyrielle de tendresses
Louange et sourire
Motive, stimule et encourage
Ne juge jamais
Offre son support
Plaisante avec vous
Questionne votre sens de l'humour
Respire le bien-être
Sécurise dans l'adversité
Téléphone juste pour dire bonjour
Utilise vos talents
Vous dit la vérité quand vous avez besoin de l'entendre
WoW! Wow! vos accomplissements
X O X O X O X baisers et câlins
Y'a rien comme un ami qui...
Zappe la T.V. pour vous donner la place.
 
  • Les yeux de l'âme

Deux hommes, les deux sérieusement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. Un des deux hommes pouvait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les fluides de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.
L'autre homme devait passer des journées couché sur son dos.

Les hommes parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, leurs maisons, leurs emplois, leur participation dans le service militaire et où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il pouvait voir dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants naviguaient leurs bateaux modèles. Les jeunes amoureux marchaient bras sous bras parmi des fleurs de chaque couleur de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et une belle vue de la ville pouvait être vue dans la distance. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tout ceci dans le détail exquis, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait ses yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme ne pouvait pas entendre l'orchestre, il pouvait la voir avec l'oeil de son imagination tellement son compagnon l'a dépeint avec des mots descriptifs.

Les jours et les semaines passèrent. Un matin, l'infirmière de jour
est arrivée pour apporter l'eau pour leurs bains et trouva le corps
sans vie de l'homme près de la fenêtre, qui est mort paisiblement dans son sommeil. Elle était attristée et appela les préposés pour prendre son corps. Dès qu'il senti que le temps était approprié,
l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière était  heureuse de le transférer et après s'être assurée qu'il était confortable, elle le laissa seul.

Lentement, péniblement, il se monta vers le haut sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de le voir lui-même. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre
près du lit. Tout ce qu'oeil vu, fut un mur. L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé avait décrit de si merveilleuses choses. L'infirmière répondit que l'homme était
aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Elle dit: "Peut-être, il a juste voulu vous encourager."

Epilogue...
Il y a un bonheur énorme à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres situations. La peine partagée est la moitié de la douleur, mais le bonheur une fois partagé, est doublé. Si vous voulez vous
sentir riche, vous n'avez qu'à compter toutes les choses que vous avez que l'argent ne peut pas acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi il s'appelle le présent.

Anonyme
 
 
  • Savoir s'accepter
 
Petit Trot et Grand Galop aimaient tous les deux le sport. Une grande différence cependant séparait nos deux compères; alors que Grand galop possédait de grandes jambes et une musculature importante. Petit Trot, de son côté, semblait avoir été délaissé quelque peu par Mère Nature. Ses jambes étaient petites et son apparence n'avait rien de celle d'un grand champion.
Petit Trot se disait souvent en lui-même: "Si seulement je pouvais devenir aussi rapide que Grand galop, si seulement je pouvais être aussi bon que lui, ne serait-ce qu'une fois." Mais le rêve de Petit Trot ne devint jamais réalité et Grand galop était toujours plus fort que lui.
Un soir, alors que Petit Trot, découragé, s'était retiré dans sa chambre pour pleurer sur son malheur, une petite voix vint à sa conscience et lui laissa ce message: " Petit Trot, pourquoi ne veux-tu pas comprendre que tu n'as pas à dépasser les performances de Grang Galop, mais les tiennes? Surpasse tes propres records, dépasse tes hiers, deviens un meilleur Petit Trot. Accepte-toi tel que tu es.
Notre ami réfléchit longuement sur ce que venait de lui dire la petite voix et à partir de ce soir-là, il cessa de se comparer à Grand Galop et décida de se mesurer à lui-même. Petit Trot devint de plus en plus agile. Bien sûr, il ne devint jamais aussi rapide que Grand Galop, mais pour lui l'important n'était plus maintenant de battre Grand galop, mais d'améliorer le Petit Trot qu'il était.
Le monde entier est rempli de Petit Trot, non seulement dans le domaine sportif mais dans tous les autres domaines et c'est normal qu'il en soit ainsi.Tous ne peuvent pas être de Grand Galop, mais à tous les Petits Trot, j'aimerais laisser ce message :
" Amis, travaillez très fort pour vous améliorer mais souvenez-vous qu'il y aura toujours des Grands Galop et que l'important n'est pas de se comparer à eux, mais plutôt de toujours améliorer les Petits Trot que vous êtes."
Auteur inconnu 
 
 
  • Un sourire, ça s'attrape comme la grippe !
  
J'ai commencé à  sourire aussi.
Je marchais dans la rue et quelqu'un a vu mon sourire.
  
Quand il a souri à son tour, je me suis rendu compte que c'était moi qui le lui avais transmis.
  
J'ai pensé à ce sourire et je me suis rendu compte de la valeur de mon sourire.
  
Un seul sourire comme le mien pourrait faire le tour du monde.
 
Alors si tu sens un sourire qui se déclare sur tes  lèvres, encourage le.
  
Mieux que ça !
Vite, commençons une épidémie et infectons le monde entier !
 

Fais suivre ce message "démarreur de sourires" dès que tu le reçois !

 

 

Allons, ce n'est pas le temps de se poser des questions ou de bailler ! Envoie cette page à tout le monde et que tout le monde.. rie !

   

On dit que cela prend une minute pour remarquer une personne spéciale, une heure pour l'apprécier, un jour pour l'aimer, mais qu'on a ensuite
besoin de toute une vie pour l'oublier.
 
 
  • histoire apprendre a apprécier les jours et seconde qui passe
 
Mon ami ouvrit le tiroir de la commode de son épouse et en sortit un  petit  paquet enveloppé de soie :Ceci, dit-il, n'est pas un simple paquet, c'est de la lingerie.Il jeta le papier et observa la soie et la dentelle.J'ai acheté ceci la première fois que nous sommes allés à New-York, il y  a 8 ou 9 ans, mais elle ne l'a jamais utilisé.  Elle voulait le conserver pour une occasion spéciale.Et bien. je crois que c'est le bon moment justement.Il s'approcha du lit et rajouta ce paquet à d'autres choses que les pompes funèbres emmèneraient.Sa femme venait de mourir. En se tournant vers moi, il me dit : ne gardes rien pour une occasion  spéciale. Chaque jour que tu vis est une occasion spéciale !Je pense toujours à ces paroles, elles ont changé ma vie.Aujourd'hui, je lis beaucoup plus qu'avant et je nettoie moins, Je   m'assied sur ma terrasse et admire le paysage sans prêter attention  aux  mauvaises herbes du jardin. Je passe plus de temps avec ma famille et mes amis, et moins de temps au  travail,J'ai compris la vie est un ensemble d'expériences à apprécier. Désormais, je ne conserve rien.J'utilise mes verres en cristal tous les jours, je mets ma nouvelle veste pour aller au supermarché si l'envie m'en prend.Je ne garde plus mon meilleur parfum pour les jours de fête, je l'utilise dès que j'en ai envie.  Les phrases du type « un jour » et « un de ces jours sont en train d'être bannies de mon vocabulaire.
  •   Si cela en vaut la peine, je veux voir, entendre et faire les choses  maintenant.Je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu'aurait fait la femme de mon ami si elle avait su qu'elle ne serait plus là demain (un demain que nous  prenons tous à la légère). Je crois qu'elle aurait appelé sa famille, ses amis  intimes, Peut-être aurait-elle appelé quelques vieux amis pour faire la paix ou s'excuser pour une vieille querelle passée.J'aime penser qu'elle serait peut-être allée manger chinois(sa cuisine préférée).Ce sont toutes ces petites choses non faites qui m'énerveraient beaucoup si je savais que mes heures sont comptées. Je serais énervé de ne plus avoir vu certains de mes amis avec lesquels je devais me remettre en contact (un de ces jours). Énervé de ne pas avoir écrit les lettres que j'avais l'intention d'écrire  « un de ces jours ».Énervé de ne pas avoir dit assez souvent à mes proches combien je les aime.Maintenant, je ne retarde rien, ne repousse ou ne conserve rien qui pourrait apporter de la joie et des rires à nos vies.Je me dis que chaque jour est spécial.Chaque jour, chaque heure, chaque minute est spéciale... 
  • une petite histoire intéressante sur laquelle il serait bien de réfléchir, et qu'il serait sage de mettre en pratique un peu plus souvent!

    Socrate avait, dans la Grèce Antique, une haute réputation de sagesse.
    Quelqu'un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dire : " sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?
    -Un instant répondit Socrate. Avant que tu me racontes tout cela, j'aimera te faire passer un test rapide. Ce que tu as a me dire, l'as tu fait passer par les trois passoires ?
    -Les trois passoires ?
    Mais oui, repris Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerai dire. C'est ce que j'appelle le test des trois passoires. La première passoire est celle de la vérité . As-tu vérifié si ce que tu veux me raconter est vrai.
    -Non pas exactement. Je n'ai pas vu la chose de moi même, je l'ai seulement entendu dire.
    -Très bien ! Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Voyons maintenant. Essayons de filtrer autrement, en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est ce quelque chose de bien ?
    -Ah non ! Au contraire ! J'ai entendu dire que ton ami avait très mal agi.
    -Donc continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas sur qu'elles soient vraies. Ce n'est pas très prometteur ! Mais tu peux encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-ce utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?
    -Utile ? Non pas réellement, je ne crois pas que ce soit utile.
    -Alors, de conclure Socrate, Si ce que tu as a m'apprendre n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ! Je ne veux rien savoir et de ton côté tu ferais mieux d'oublier tout cela !
  
Deux amis se disputèrent sérieusement, l'un bouscula l'autre et décida de ne plus lui adresser la parole. Ce dernier écrivit par terre: "Mon ami s'est faché". Sur le chemin du retour, ils trouvèrent un endroit pour se baigner. Malheureusement, celui qui fut bousculé commença à se noyer, mais son ami, bien que faché, le sauva de justesse. Plus tard, le rescapé fit un joli tableau avec ces mots: "Mon ami m'a sauvé la vie" au grand étonnement de sonami. Il lui répondit: "Lorsqu'on nous fait du mal, il faut le noter par terre, sur la poussière. Un coup de vent et tout s'efface car on veut pardonner. Mais le bien qu'on nous fait, il faut l'écrire sur quelque chose qui ne s'efface pas et ne pas l'oublier." Moralité: apprenons à écrire nos peines et nos souffrances sur le sable, dans la poussière, par terre, et retenons nos joies d'une façon indélébile comme gravées dans le bois ou lapie
Une belle leçon ...
Il était une fois une course ... de  jeunes gens .
 L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour.
 Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir  et  les soutenir.
La course commença.
En fait, les gens ne croyaient pas possible que les jeunes gens  atteignent  la cime et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre : 
 "Inutile !  Ils  n’y arriveront jamais!"  
Cette jeunesse  commença   peu à peu à se décourager,
sauf  un   qui continua de grimper  mais les  gens continuaient :
  "... Vraiment c’est  pas la peine  !!! Ils  n’y arriveront jamais !..."
 Beaucoup  s’avouèrent vaincus,
sauf une âme  qui continuait envers et contre tout …
A la fin, tous abandonnèrent, sauf  un  , qui,
seul 
et au prix d'un énorme effort, rejoignit la cime
la joie au cœur !!!.
Les applaudissements étaient in ter mi na bles.. !!
Pour beaucoup ...quelle surprise !!

L’un d’entre  ces jeunes  s’approcha pour lui demander
comment  il avait fait pour terminer l’épreuve.
Le vainqueur ne répondait pas .
Il reposa la même question ...
et il découvrit que le vainqueur   était sourd  !
N'écoutez donc pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives ...
  car elles volent les meilleurs espoirs de votre cœur !
Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots que vous entendez ou que vous lisez. et ....
soyez  toujours POSITIF !


Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant qui a raté un examen.

- Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt.

- Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire.

- Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui attendent de se revoir.

- Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion.

- Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident.

- Pour apprendre la valeur d'une milliseconde, demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux jeux Olympiques.

- Le temps n'attend personne. Rasemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur.

Partage le avec une personne de choix et il deviendra encore plus précieux

.
Un père rentre encore tard ce soir de son travail, très fatigué.
Il aperçoit son petit de 5 ans qui l'attend impatiemment à la porte.
 
- Papa, dis-moi, combien tu gagnes à l'heure?
- Tiens! Qu'est-ce qui te prend à me poser une telle question?
- Si, papa, dis-le moi, je veux savoir, s'il te plaît... supplie le petit garçon.
- Combien je gagne à l'heure? 50 francs. Et alors?
- Ah! Bon! fait le petit garçon en hochant sa petite tête. Alors, Papa,prête-moi 25 francs, s'il te plaît!
Le père est manifestement agacé:
- Alors ça va, fiston? Qu'est-ce qui se passe avec tes questions:
combien je gagne... et maintenant: donne-moi de l'argent... Tu veux de l'argent pour tes bêtises de jouets... Tu ne penses qu'à toi! Allez! Vas
vite te coucher. Après cette longue journée de travail, j'ai besoin de me détendre un peu...
Le petit garçon se précipite désespérément dans sa chambre et ferme la porte.
Le père s'assoit dans son fauteuil. Mais le comportement bizarre de son fils l'intrigue.
Comment a-t-il eu l'audace de le questionner sur son travail pour ensuite lui demander un peu d'argent? Finalement, il se
calme et il réfléchit. Peut-être s'est-il montré un peu sévère envers son fils?
Peut-être que son fils avait vraiment besoin des 25 francs?
Jusque là, il ne lui avait jamais demandé de l'argent. Il décide d'aller voir son fils dans sa chambre.
- Tu ne dors pas encore, fiston? lui demande-t-il gentiment.
- Non papa!.
- Bon! J'ai réfléchi. Je pense que j'ai été un peu trop dur avec toi.
Tu sais, j'ai eu une longue journée de travail... Tiens! Voilà les 25 francs que tu m'avais demandés.
Le petit se relève radieux: "Oh, Merci papa! Merci".
Puis, retirant de dessous de son oreiller sa cachette d'argent, il compte et tend le tout vers son père, en disant:
- Tiens, papa, y a 50 francs en tout! Demain, tu feras une heure en moins, et on la passera ensemble!

  • ET DIEU CRÉA LA MAMAN...
 
d'après un texte d'Erma Hombrek

Du soir au matin, du matin au soir, il travaillait sans relâche à créer la MAMAN.  Lui apparut alors un ange qui lui dit: «Vous en mettez du temps pour cette créature-là!»

Le Bon Dieu lui répondit: « As-tu seulement lu sa fiche technique? Il faut qu'elle soit entièrement lavable sans être de plastique, elle est composée de mille pièces mobiles et toutes remplaçables, elle roule au café noir et aux "restants" de cuisine, elle marie la douceur de roulement à la solidité de la carrosserie.

Ses baisers guérissent tout, depuis les entorses aux chevilles, jusqu'aux chagrins d'amour... Il lui faut aussi six paires de mains!»

L`ange hocha la tête: «Six paires de mains? Impossible!»

«Ce ne sont pas tellement les mains qui m'embarrassent, expliqua le Bon Dieu, mais les trois paires d`yeux indispensables à toute maman.»

«Ce n'est pas conforme au prototype!» riposta l'ange. En soupirant, le Bon Dieu continua: «Il lui faut une paire d`yeux qui voient à travers les porte fermées: «Qu'est-ce que vous faites là les enfants?» tout en connaissant la réponse.
Une autre paire d'yeux derrière la tête pour voir ce qu'elle ne devrait pas, mais qu'elle doit savoir.
Et une troisième paire par devant, pour regarder l'enfant qui fait une bêtise, des yeux qui disent quand même:" Je t'aime et je te comprends..." Et sans ouvrir la bouche!»

«Seigneur, dit l'ange en lui tapotant amicalement l'épaule, allez vous coucher, il se fait tard.. À chaque jour suffit sa peine...»

«Je ne peux pas répond le Bon Dieu, je sens que je touche au but: je suis sur le point de créer un être véritablement à mon image, un être qui me ressemble! J'ai enfin réussi à rendre cette créature capable de se guérir toute seule quand elle est malade, de préparer un repas pour six personnes avec une livre de viande hachée, de faire prendre son bain à son grand garçon de neuf ans et de consoler le premier chagrin d'amour de sa grande de quinze ans.»

L'ange continue l'inspection de la future maman:« trop délicate», murmure-t-il. «Oui, mais combien résistante! réplique vivement le Bon Dieu. C`est incroyable tout ce que cette créature peut faire et supporter!»

«Elle peut penser?» demande l`ange

«Non seulement penser, mais encore AIMER et apaiser» dit Dieu.

L'ange continue l'examen, passe son doigt sur la joue et fait remarquer: «Oh! Il y a une fuite!»

Ce n'est pas une fuite, dit le Bon Dieu; c'est une larme».

«Une larme de quoi?» demande l'ange..
«Une larme de joie, de tendresse, de déception, de tristesse, de solitude, ou encore de fierté», dit le Bon Dieu.

«Ce sera sûrement "le" chef-d'oeuvre de toute la création», conclut l'ange.

«De fait, ajoute le Bon Dieu, j'en suis si fier que j'en prépare une pour mon propre Fils. Je l'appellerai Marie.»


  • Comment utilise-t-on notre temps????


Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte de 86400.-
Simplement, il y a deux règles à respecter. La première règle est que tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé le soir.  
Vous ne pouvez pas tricher, ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte, ne pouvez que le dépenser mais chaque matin au réveil, la banque vous rouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86400.- pour la journée.
 
Deuxième règle :
 
la banque peut interrompre ce « jeu » sans préavis ; à n'importe quel moment, elle peut vous dire que c'est fini, qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autre. Que feriez-vous ? A mon avis, vous dépenseriez chaque franc à vous faire plaisir, et à offrir quantité de cadeaux aux gens que vous aimez. Vous feriez en sorte d'utiliser chaque franc pour apporter du bonheur dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent.

Cette banque magique, nous l'avons tous, c'est le temps ! Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir, il n'y a pas de report. Ce qui n'a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer. Chaque matin, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle incontournable: la banque peut fermer notre compte à n'importe quel moment,  sans aucun préavis; à tout moment, la vie peut s'arrêter.
Alors qu'en faisons-nous de nos 86400 secondes quotidiennes ? "La vie est courte, même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue" ...
alors ....

  • Le Super Marché du Ciel
 
 
Comme je marchais sur la route de la vie, il y a quelques années, je suis arrivée devant un enseigne qui disait : " Super Marché du Ciel ".
 
Lorsque je me suis approchée, les portes se sont ouvertes et je me suis aperçue que j'étais à l'intérieur.
 
J'ai vu des anges; il y en avait partout.
Un des anges m'a tendu un panier en disant : " Mon enfant, magasine bien."
 
Tout ce qu'un humain avait besoin était dans ce magasin et ce que tu ne pouvais pas emporter, tu pouvais revenir le chercher.
 
En premier, j'ai pris de la Patience.
L'amour était dans la même rangée.
Un peu plus loin se trouvait la Compréhension.
T'as besoin de ça partout où tu vas.
 
J'ai pris une boite ou deux de Sagesse.
La Foi, un sac ou deux.
De la Charité bien sûr, j'en aurai bien besoin.
 
Je ne pouvais manquer l'Esprit-Saint, il était partout.
Et puis de la Force.
Du Courage pour m'aider dans cette course.
Mon panier se remplissait bien.
Mais je me suis rappelée que j'avais besoin de Grâce.
Et puis j'ai pris du Pardon; le Pardon était gratuit.
J'en ai pris pas mal, pour toi et moi.
 
Puis je me suis dirigée au comptoir pour payer ma facture.
Je crois bien que j'avais tout ce dont j'avais besoin.
 
Dans une allée, j'ai vu de la Prière et je savais bien qu'en sortant j'en aurais besoin.
 
Paix et Joie étaient en quantité phénoménales.
La dernière chose sur la tablette,
Louanges et Psaumes se tenaient là,
ça fait que je ne me suis pas gênée.
 
Puis j'ai dit à l'ange : " Combien je te dois ? "
Il a souri et dit ; " Emporte tout ça avec toi partout où tu iras ! "
 
Encore une fois je lui ai demandé : " Vraiment maintenant, combien je te dois ? "
" Mon enfant " il dit: " Dieu a payé ta facture il y a longtemps par son Fils Unique

  • La leçon de sagesse d'un père à son fils

Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et Lui dit d'en planter un, dans la clôture du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un. Le premier jour il planta 37 clous dans la clôture.
Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la clôture diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous.
Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la clôture. Alors il alla voir son père et lui dit, que pour ce jour, il n'avait planté aucun clou.
Son père lui dit alors, d'enlever un clou dans la clôture pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon pu dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la clôture. Le père conduisit son fils devant la clôture et lui dit : " Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la clôture. Elle ne sera jamais comme avant.
Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent. Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur cour. "
Auteur(e) inconnu(e)
Un homme entra dans un salon de coiffure pour se faire couper les cheveux et tailler sa barbe comme il le faisait régulièrement. Il entama la conversation avec le barbier. Ils discutèrent de sujets nombreux et variés.  soudain, ils abordèrent le sujet de Dieu
 Le barbier dit : "Écoute, je ne crois pas que Dieu existe comme tu le dis. "
 " Pourquoi dis-tu cela? " répondit le client.
 " Bien, c'est facile, tu n'as qu'à sortir dans la rue pour comprendre que Dieu n'existe pas. Dis-moi, si Dieu existait, y aurait-il tant de gens malades? Y aurait-il tant d'enfants abandonnés? Si Dieu existait, il n'y aurait pas de souffrance ni de peine. Je ne peux penser à un Dieu qui permet toutes ces choses. "
 Le client s'arrêta un moment pour penser mais il ne voulut pas répondre pour éviter tout confrontation.
Le barbier termina son travail et le client sortit du salon. Tout de suite après sa sortie, il vit un homme dans la rue avec de longs cheveux et une barbe (il semblait bien qu'il avait été longtemps sans s'être occupé de lui-même car il avait l'air vraiment négligé).
Le client retourna donc dans le salon et dit au barbier:
" Tu sais quoi? Les barbiers n'existent pas. "
" Comment ça, les barbiers n'existent pas? " demanda le barbier. " Ne suis-je pas ici et ne suis-je pas un barbier moi-même? "
" Non! " s'écria le client. Ils n'existent pas parce que s'ils s'existaient, il n'y aurait pas de gens avec de longs cheveux et la barbe longue comme cet homme qui marche dans la rue. "
"Ah, les barbiers existent. Ce qui arrive, c'est que les gens ne viennent pas à moi."
 " Exactement! " affirma le client. " Tu l'as dit : Dieu existe. Ce qui arrive c'est que les gens ne vont pas vers LUI et ne LE cherche pas, c'est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde. "



  • Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment vivent les pauvres.
 Ils passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a  pas beaucoup à leur offrir.
 
 Au retour, le père demande à son fils. : "As-tu aimé ton séjour?"
 
"C'était fantastique papa!"
 
"As-tu vu comment vivent les gens pauvres?" Demande encore le père.
 
"Ah oui!" Répond le fils
 
"Alors qu'a-tu appris?"
 
    Le fils lui répond "J'ai vu que nous n'avions qu'un chien alors qu'ils en ont quatre.
 
Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils vont dans une grande crique sur la mer.
 
Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles partout dans le ciel.
 
Nous avons une immense galerie à l'avant et eux ont l'horizon.
 
Nous avons un domaine mais eux ont des champs à perte de vue.
 
Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres.
 
Nous achetons nos denrées et eux les cultivent.
 
Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger.
Eux ont des amis qui les protègent."
 
Le père en resta muet.
 
Le fils rajouta, "Merci Papa de m'avoir montré tout ce que nous n'avons pas".
 
Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n'avons pas.
 
Ce qui est un objet sans valeur pour l'un peut très bien être un trésor pour un autre. Ce n'est qu'une question de perspective.
 
C'est à ce demander ce qui arriverait si on rendait grâce pour tout ce que nous avons au lieu d'en vouloir plus.
 
Apprenez à apprécier ce que vous "avez" au lieu de gémir sur ce que vous aurez pu avoir.
A chaque jours suffit sa peine.


L’homme et l’enfant
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
 Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n’êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou.
  Un Spiritualiste le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché.
 Un Scientifique calcula la profondeur du trou.
  Un Journaliste l’interviewa sur ses douleurs.
 Un Yogi lui dit : Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur.
Un Médecin lui lança deux comprimés d’aspirine.
 Une Infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui.
  Un Thérapeute l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.
  Une Pratiquante de la pensée positive l’exhorta : Quand on veut, on peut !
 Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.
  Un Pessimiste ajouta : Et ça risque d’empirer.
Puis un enfant passa, et lui tendit la main...
L’acte juste
On ne détruit pas les ténèbres en luttant contre elles, mais en allumant la lumière.
On ne détruit pas le mal en luttant contre lui, mais en faisant le bien.
On ne détruit pas la haine ou la peur en s’acharnant contre elles, mais en laissant monter la tendresse-amour.
C’est en allant vers l’est que l’on s’éloigne de l’ouest.
C’est en allant vers plus de vie qu’on dépasse la mort.
C’est en allant vers ce qui dure qu’on est libre de ce qui ne dure pas.
Placide Gaboury, Paroles pour le coeur
Le bonheur
Si tu ne trouves pas le bonheur
C’est peut-être que tu le cherches ailleurs...
Ailleurs que dans tes souliers.
Ailleurs que dans ton foyer.
Selon toi, les autres sont plus heureux.
Mais, toi, tu ne vis pas chez eux.
Tu oublies que chacun a ses tracas.
Tu n’aimerais sûrement pas mieux leur cas.
Comment peux-tu aimer la vie
si ton coeur est plein d’envie,
si tu ne t’aimes pas,
si tu ne t’acceptes pas ?
Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute,
c’est de rêver d’un bonheur trop grand.
Sache cueillir le bonheur au compte-gouttes :
ce sont de toutes petites qui font les océans.
Ne cherche pas le bonheur dans tes souvenirs.
Ne le cherche pas non plus dans l’avenir.
Cherche le bonheur dans le présent.
C’est là et là seulement qu’il t’attend.
Le bonheur, ce n’est pas un objet
que tu peux trouver quelque part hors de toi.
Le bonheur, ce n’est qu’un projet
qui part de toi et se réalise en toi.
Il n’existe pas de marchands de bonheur.
Il n’existe pas de machines à bonheur.
Il existe des gens qui croient au bonheur.
Ce sont ces gens qui font eux-mêmes leur bonheur.
Si, dans ton miroir, ta figure te déplaît,
à quoi te sert de briser ton reflet ?
Ce n’est pas ton miroir qu’il faut casser.
C’est toi qu’il faut changer !
Charles-Eugène PLOURDE, Une lumière sur mes pas, Trois-Rivières 2003

Hymne au possible
L’or n’a pas besoin de pierre philosophale, mais le cuivre oui.
Améliore-toi.
Ce qui est vivant, fais-le mourir : c’est ton corps. Ce qui est mort, vivifie-le : c’est ton coeur.
Ce qui est présent, cache-le : c’est le monde d’ici-bas. Ce qui est absent, fais-le venir : c’est le monde de la vie future

La maladie du bonheur
ATTENTION ! Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse. L’O.M.B. (Organisation Mondiale du Bien-être) prévoit que des milliards de personnes seront contaminées dans les dix ans à venir.
Voici les symptômes de cette terrible maladie :
1- Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d’agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnement du passé.
2- Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
3- Perte complète de la capacité de se faire du souci (cela représente l’un des symptômes les plus graves).
4- Plaisir constant d’apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne une disparition de l’habitude de vouloir changer les autres.
5- Désir intense de se transformer soi-même pour développer ses potentiels de santé, de créativités et d’amour.
6- Attaques répétées de sourires, ce sourire qui dit " merci " et donne le sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit.
7- Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.
Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes. Cette maladie est extrêmement contagieuse. Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux chimiques peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes, mais ne peuvent s’opposer à la progression inéluctable du mal. Aucun vaccin anti-bonheur n’existe. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte totale de la peur de mourir qui est le pilier central des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire, tels que grèves de l’esprit belliqueux, rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, cercles de partages et de guérison, crises collectives de fou rire.

Reconnaître la Sagesse.
Un homme qui avait la réputation d’être sage vivait en ermite sur une montagne et y méditait depuis de nombreuses années, loin de l’agitation et des vicissitudes du monde.
Il jour il reçut la visite d’un habitant du village voisin. Il n’avait pas plu dans la région depuis deux saisons entières et les récoltes avaient été maigres, la disette couvait. On commencerait bientôt à puiser dans les réserves de semailles. Et alors, que planterait-on la saison prochaine ?
L’homme exposa cette situation au sage et lui demanda conseil.
Le sage lui dit :
 Mettez le grain qu’il vous reste en commun. Mangez-en la moitié pour survivre et semez le reste, mais seulement dans les champs les plus fertiles. Vous en prendrez soin en commun. Vous les arroserez avec l’eau du puits. Et vous partagerez la récolte.
Alors, l’homme s’exclama :
 Ha ! Voilà un sage.
Se penchant vers lui, le sage lui répondit :
  Non, le sage c’est celui qui sait reconnaître la sagesse.

Les treize commandements de la vie.
Le plus grand handicap, la peur.
Le plus beau jour, aujourd’hui.
La chose la plus facile, se tromper.
La plus grande erreur, abandonner.
Le plus grand défaut, l’égoïsme.
La plus grande distraction, le travail.
La pire banqueroute, le découragement.
Les meilleurs professeurs, les enfants.
Le plus grand besoin, le bon sens.
Le plus bas sentiment, la jalousie.
Le plus beau présent, le pardon.
La plus grande connaissance, Dieu.
La plus belle chose au monde, l’amour.
Anonyme.

Règles pour être (s) humain (s).
Un corps t’a été donné. Tu peux l’aimer ou le détester, mais ce sera le tien pour toute la durée de cette vie.
Tu vas apprendre des leçons. Tu es inscrit(e) dans une école informelle à plein temps appelée "Vie ". Chaque jour tu auras l’occasion d’apprendre des leçons dans cette école. Tu pourras aimer les leçons, ou penser qu’elles sont idiotes ou sans pertinence.
Il n’y a pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d’essai et erreur : l’expérimentation. Les expériences " ratées " font tout autant part du processus que celles qui réussissent.
Une leçon sera répétée jusqu’à ce quelle soit apprise. Une leçon te sera présentée sous diverses formes, jusqu’à ce que tu l’apprennes. Quand tu l’auras apprise, tu pourras passer à la leçon suivante.
Apprendre des leçons ne finit jamais. Il n’y a pas de partie de "Vie" qui ne contienne de leçon. Si tu es en vie, il y a des leçons à apprendre.
" Ailleurs " n’est pas meilleur qu’ " ici ". Quand ton " ailleurs " est devenu " ici ", tu obtiens à nouveau un autre " ailleurs " qui a son tour te semblera meilleur qu’ " ici ".
Les autres sont essentiellement des miroirs de toi-même. Tu ne peux aimer ou détester quelque chose chez autrui que si ce quelque chose reflète une chose que tu aimes ou que tu détestes en toi.
Ce que tu fais de ta " Vie " dépend de toi. Tu as tous les outils, toutes les ressources dont tu as besoin. Ce que tu en fais dépend de toi. Le choix t’appartient.
Tes réponses sont en toi. Les réponses aux questions de la " Vie " sont en toi. Tout ce qu’il te faut, c’est regarder, écouter et faire confiance.
A mesure que tu t’ouvres à cette confiance, tu te souviendras de plus en plus de tout ceci.
Anonyme.
VOYAGER
Un jour le maître dit : "Il est beaucoup plus facile de voyager que de s’arrêter".
Les disciples voulurent savoir pourquoi :
"- Parce que, dit le maître, tant que l’on voyage on peut s’accrocher à un rêve. Quand on s’arrête, on doit faire face à la réalité."
"- Mais comment changerons-nous un jour si nous n’avons pas de buts ou de rêves ?" demandèrent les disciples.
"- Le véritable changement est celui qui n’est pas voulu. Faites face à la réalité et un changement que vous n’aurez pas voulu se produira"

En guise de conclusion : "Quelle existence fais-tu dans ta chrysalide ?" demande frère escargot qui traîne allègrement sa coquille aux quatre coins du monde à l’horizontale.
"Je me laisse pousser des ailes" répond dans la chrysalide le papillon de nuit. "Tu n’en auras jamais toi-même car c’est un don de Dieu à la stabilité".
Comment sont les gens ?
Il était une fois un vieil homme assis à l’entrée d’une ville du Moyen-Orient.
Un jeune homme s’approcha et lui dit :
  Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieil homme lui répondit par une question :
  Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
      Egoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir, dit le jeune homme. Le vieillard répondit :
  Tu trouveras les mêmes gens ici.
Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.
    Je viens d’arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieille homme répondit de même :
 Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
  Ils étaient bons et accueillants, honnêtes ; j’y avais de bons amis ; j’ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme.
 Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.
Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s’adressa au vieillard sur un ton de reproche :
 Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ?
  Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur.

EXISTENCE
Prenez attention. Tâchez d’être heureux
Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toutes personnes.
Dites tout doucement et clairement votre vérité ; et écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant ; ils ont eux aussi leur histoire.
Évitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l’esprit. Ne vous comparez avec personne : vous risqueriez de devenir vain ou vaniteux. Il y a toujours plus grands et plus petits que vous.
Jouissez de vos projets aussi bien que de vos accomplissements. Soyez toujours intéressés à votre carrière, si modeste soit- elle ; c’est une véritable possession dans les prospérités changeantes du temps. Soyez prudent dans vos affaires ; car le monde est plein de fourberies.
Mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe ; plusieurs individus recherchent les grands idéaux ; et partout la vie est remplie d’héroïsme. Soyez vous-même. Surtout n’affectez pas l’amitié. Non plus ne soyez cynique en amour, car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement aussi éternel que l’herbe.
Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse. Fortifiez une puissance d’esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez pas avec vos chimères. De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude.
Au delà d’une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les étoiles ; vous avez le droit d’être ici. Et qu’il vous soit clair ou non, l’univers se déroule sans doute comme il le devrait. Soyez en paix avec Dieu, quelle que soit votre conception de lui, et quels que soient vos travaux et vos rêves, gardez dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme.
Avec toutes ses perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau. Tâchez d’être heureux.
Max Ehrmann-1927 Le plus grand miracle de la médecine, c’est la maladie."
Parlez-nous des enfants
Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit, Parlez-nous des Enfants.
Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, Car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves. Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous. Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.
Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés. L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de Sa puissance pour que Ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie ; Car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable.
Khalil Gibran, Le prophète "Je voudrais être un honnête homme."
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir, Si tu peux être amant sans être fou d’amour ; Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre Et , te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles, Sans mentir toi-même d’un mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les Rois Et si tu peux aimer tous tes amis en frères, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître, Penser, sans n’être qu’un penseur ; Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu peux être bon, si tu sais être sage, Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer triomphe après défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront ; Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tout jamais tes esclaves soumis Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un Homme, mon fils.
Rudyard KIPLING CHANCE ou MALCHANCE ?
Un habitant du nord de la Chine vit un jour son cheval s’échapper et passer de l’autre côté de la frontière. Le cheval fut considéré comme perdu.
A ses voisins qui venaient lui présenter leur sympathie, le vieil homme répondit :
 La perte de mon cheval est certes un grand malheur. Mais qui sait si dans cette malchance ne se cache pas une chance ?
Quelques mois plus tard, le cheval revint accompagnée d’une magnifique jument. Les voisins félicitèrent l’homme, qui leur dit, impassible :
 Est-ce une chance, ou est-ce une malchance ?
Le fils unique du vieil homme fut pris d’une véritable passion pour la jument. Il la montait très souvent et finit un jour par se casser la jambe pour de bon.
Aux condoléances des voisins, l’homme répondit, imperturbable :
  Et si cet accident était une chance pour mon fils ?
L’année suivante les Huns envahirent le nord du pays. Tous les jeunes du village furent mobilisés et partirent au front. Aucun n’en revint. Le fils estropié du vieil homme, non mobilisable, fut le seul à échapper à l’hécatombe.
(d’après Hoài-Nam-Tu) Comblé
J’ai demandé à Dieu la force pour atteindre le succès ; Il m’a rendu faible afin que j’apprenne humblement à obéir.
J’ai demandé la santé pour faire de grandes choses ; Il m’a donné l’infirmité pour que je fasse des choses meilleures.
J’ai demandé la richesse pour pouvoir être heureux ; Il m’a donné la pauvreté pour pouvoir être sage.
J’ai demandé la puissance pour obtenir l’estime des hommes ; Il m’a donné la faiblesse pour que j’éprouve le besoin de Dieu.
J’ai demandé un compagnon afin de ne pas vivre seul ; Il m’a donné un coeur afin que je puisse me réjouir de toutes choses....
Je n’ai rien eu de ce que j’avais demandé, mais j’ai reçu tout ce que j’avais espéré.
Presque en dépit de moi-même, les prières que je n’avais pas formulées ont été exaucées.
Je suis parmi les hommes, le plus richement comblé.
Texte gravé dans un institut de réadaptation à New York
Une petite histoire interessante...
 
Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils à la
  campagne pour lui montrer comment vivent les pauvres.
 
    Ils passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a
  pas beaucoup à leur offrir.
 
    Au retour, le père demande à son fils. : "As-tu aimé ton séjour?"
 
    "C'était fantastique papa!"
 
    "As-tu vu comment vivent les gens pauvres?" Demande encore le père.
 
    "Ah oui!" Répond le fils
 
    "Alors qu'a-tu appris?"
 
    Le fils lui répond "J'ai vu que nous n'avions qu'un chien alors qu'ils
  en ont quatre.
 
    Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils vont
  dans une grande crique sur la mer.
 
    Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles
  partout dans le ciel.
 
    Nous avons une immense galerie à l'avant et eux ont l'horizon.
 
    Nous avons un domaine mais eux ont des champs à perte de vue.
 
    Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres.
 
    Nous achetons nos denrées et eux les cultivent.
 
    Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger.
  Eux ont des amis qui les protègent."
 
    Le père en resta muet.
 
    Le fils rajouta, "Merci Papa de m'avoir montré tout ce que nous
  n'avons pas".
 
    Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous
  morfondre sur ce que nous n'avons pas.
 
    Ce qui est un objet sans valeur pour l'un peut très bien être un
  trésor pour un autre. Ce n'est qu'une question de perspective.
 
    C'est à ce demander ce qui arriverait si on rendait grâce
  pour tout ce que nous avons au lieu d'en vouloir plus.
 
    Apprenez à apprécier ce que vous "avez" au lieu de gémir sur ce que vous aurez pu avoir.
    A chaque jours suffit sa peine.

LES DEUX AMIS
 
   C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. A un moment, ils se
disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre.
 
    Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :
     AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE.
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner, mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
    Quand il se fut repris, il grava sur une pierre :
    AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.
    Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda:
    Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as graver sur la pierre.
     POURQUOI ?
     L'autre ami répondit :
     Quand quelqu 'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer.
     Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où  aucun vent ne peut l'effacer.
 
      APPRENDS A ECRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.


  • Il était une fois, 3 arbres dans une pente dans les bois. Ils discutaient de leurs espoirs & rêves...
 
Alors le premier arbre dit: '' Un jour, j'aimerais vraiment devenir un coffre à trésor. Je serais rempli d'or, d'argent et de pierres précieuses. Je pourrais être décoré de belles engravures, tout le monde reconnaîtrait sa beauté''
 
Le second arbre lui dit: '' Un jour j'aimerais être un bateau Royal. Je transporterais des rois et des Reines à travers les océans, je ferais le tour du monde. Et tous ceux qui seraient dans mon bateau se sentiraient en sécurité à cause de la force de mon bois.''
 
Finalement, le troisième arbre dit: '' Moi, j'Aimerais grandir et devenir le plus grand et le plus droit des arbre de la forêt.
Les gens me verrait sur le sommet de la montagne, cela leur ferait penser aux cieux et à combien près de Dieu je serais. Je serais le meilleur arbre de tous les temps, les gens se souviendront à jamais de moi...''
 
Après quelques années, priant que leurs rêves deviennes réalité, un groupe de bûcherons arrivèrent près des arbres.
Quand un des bûcherons arriva près du premier arbre il dit:'' Cet arbre semble vraiment fort, je crois que je devrais l'amener et le vendre
Au charpentier du village.'' Il le coupa donc. L'arbre était content, parce qu'il savait que le charpentier allait le transformer en coffre à trésors.
 
Au deuxième arbre, un des bûcherons dit: '' Cet arbre à l'air vraiment durable, je devrais bien pouvoir le vendre au fabricant de bateau de la ville''. Le deuxième arbre était si content, il savait qu'il allait devenir le bateau des rois temps rêvé. Et il fût coupé.
 
Quand les bûcherons sont arrivés au troisième arbre, l'arbre fût pris d'une terrible angoisse car il savait que s'il le coupait, son rêve ne deviendrait jamais une réalité. Un des bûcherons dit: ''Je n'ai pas vraiment besoin de quoi que ce soit de spécial de cet arbre, donc, je vais le couper et le ranger. Et il le coupa.
 
Quand le premier arbre arriva chez le charpentier, il fût transformé en mangeoire à animaux. Il a été placé dans une étable, rempli de paille. Ce n'était pas du tout ce pour quoi il avait prié.
Le deuxième arbre a été coupé et fut utilisé pour faire un petit canot de pêche. Son rêve s'est totalement brisé.
Le troisième arbre, quant à lui fût coupé en larges pièces et laissé au noir.
Des années passèrent, et les arbres oublièrent leurs rêves.
 
Puis un jour, un homme & une femme viennent à l'étable. Elle donna naissance à un enfant et le plaça sur la paille dans la mangeoire qui a été fabriquée avec le premier arbre. L'homme avait rêvé d'une beau lit de bébé pour cet enfant, mais cette mangeoire allait faire l'affaire.
L'arbre pouvait ressentir l'importance de cet événement et savait qu'il soutenait en ce moment même le plus grand trésor de tous les temps.
 
Quelques années plus tard, un groupe d'homme embarquèrent dans le bateau de pêche fabriqué avec le deuxième arbre.
Un des hommes était fatigué et s'est retiré pour dormir. Pendant qu'ils étaient sur l'eau, une tempête s'est levée, Et l'arbre cru qu'il ne serait pas assez fort pour tenir le coup. Un des hommes réveilla celui qui dormait, Celui-ci se leva, réprimanda la tempête, et la tempête stoppa. À ce moment même l'arbre sût qu'il avait transporté le Rois des rois dans son bateau.
 
Finalement quelqu'un vint et pris le troisième arbre. Il le transportait dans les rues et les gens se moquaient de lui pendant qu'il l'amenait. Ils ne se sont arrêtés qu'après avoir cloué l'homme sur son arbre. Ils relevèrent l'arbre au sommet de la colline, l'homme mourut. L'arbre réalisa qu'il fut assez fort pour tenir au sommet de la colline et être le plus près de Dieu que possible, parce que son Fils venait d'être mort sur lui.
 
La morale de cette histoire est que même si les choses ne semblent pas tourner de la façon dont on voudrait, sachons toujours que Jéhovah a sans doute une raison pour laquelle cela ne se passe pas ainsi. Si nous plaçons notre confiance en Lui, il nous donnera tous les désirs de notre cœur. Chacun des arbres a reçu ce qu'ils ont voulu, simplement pas de la façon dont ils l'imaginaient.  Nous ne savons peut être pas toujours ce que Dieu veut pour nous, mais nous savons que Ses voies sont toujours les meilleures. N'oublions jamais ça!


Si vous résolvez le test, prière de m'effacer de votre carnet d'adresse...


Ceci est un vrai test psychologique.


  • C'est l'histoire d'une jeune fille.
Aux funérailles de sa mère, elle aperçoit un jeune homme qu'elle ne connaissait pas. Elle le trouve fantastique, l'homme de ses rêves quoi.
C'est le coup de foudre, elle en tombe éperdument amoureuse. Quelques jours plus tard, la jeune fille tue sa propre sœur.

Question:
Pour quel motif a-t-elle tué sa sœur?


Réponse :

Elle espérait que le gars se pointerait de nouveau aux funérailles.


Si vous avez répondu correctement à la question, vous pensez comme un psychopathe.

Ce test était utilisé par un célèbre psychologue américain pour savoir si une personne avait une mentalité d'assassin.

Bon nombre de tueurs en série ont subi ce test et ont répondu correctement à la question.

Si vous n'avez pas trouvé la bonne réponse - tant mieux pour vous.

Si vos amis la trouvent, je vous recommande de garder vos distances...

L E  P L U S  G R A N D D E S  S A C R I F I C E S  
 
 
Planté au milieu de la rivière, sur un énorme socle s'enfonçant dans l'eau,

il y avait un pont pivotant. Durant la plus grande partie de la journée,  le pont, était orienté d'amont en aval, parallèlement aux berges, de façon
 à permettre la libre circulation des bateaux. Mais à certaines heures,  quand un train était attendu, on faisait pivoter le pont qui enjambait
alors la rivière pour permettre le passage du train.

Un aiguilleur habitait dans une petite cabane, sur une des berges d'où il faisait fonctionner le mécanisme permettant de pivoter et amarrer le
 pont. Un soir, l'aiguilleur attendait le train dans la pénombre grandissante, quand il aperçut des phares au loin. Il se rendit au poste de contrôle et
 attendit que le train soit à la distance requise pour tourner le pont.
Il fit tourner ce dernier, mais constata avec horreur que le mécanisme de verrouillage ne marchait pas. Si le pont n'était maintenu fermement
 en position Il se mettrait à osciller une fois le train engagé, le faisant dérailler et s'écraser dans la rivière.

C'était un train de voyageurs avec un grand nombre de passagers...

Il quitta le poste de contrôle, obliqua vers la rivière, et se hâta vers l'autre rive où un levier lui permettait de verrouiller manuellement le pont.
 Il entendait maintenant le grondement du train. Il saisit le levier et le tira en arrière s'y appuyant de tout son poids pour verrouiller le pont. Il y
appliqua toute sa force, sachant que beaucoup de vie en dépendait.

C'est alors que sur le pont, venant du poste de contrôle, une voix lui glaça
le sang : "Papa, où es-tu?"
 Son fils de 4 ans traversait le pont à sa rencontre! II se mit alors à crier
: "Cours vite, dépêche-toi !"

Mais le train était trop près maintenant. Les petites jambes n'arriveraient jamais à temps du bon côté. C'était la vie de son fils ou celle des passagers...

Il lui fallait choisir. En l'espace d'un instant sa décision fut prise.
 Comme une flèche le train passa en toute sécurité, sans que personne ne ressenti le choc du petit corps broyé et projeté dans la rivière.
Dans le train lancé à toute vitesse, aucun passager ne remarqua la silhouette misérable de l'homme qui sanglotait, accroché au levier
de commande, bien après que le dernier wagon soit passé.

Si maintenant il vous est possible de deviner l'émotion et les sentiments ressenti, par cet homme, vous commencerez sûrement à comprendre ceux de
notre Dieu et Père céleste, lorsqu'il a sacrifié celui qu'il affectionnait tant, son fidèle et dévoué messager Jésus-Christ, pour combler le fossé
entre nous et la vie éternelle.

Rien d'étonnant qu'il ait assombri le soleil et ait fait trembler la terre quand son bien aimé est mort (Éph 1:6). Et quelles sont ses réactions lorsqu'il
 nous voit vivre en nous pressant sans cesse, sans une pensée pour ce qu'il a fait pour nous? Quand pour la dernière fois, avez-vous remercié Dieu pour avoir
 permis le sacrifice qui nous accorde la rédemption

sortez vos mouchoirs

 
De belles leçons de vie.
Première leçon importante - La femme de ménage.
>  >
>  >
Durant mon deuxième mois au collège, notre professeur nous a donné un petit examen surprise. J'étais un étudiant consciencieux et j'ai répondu
aisément à toutes les questions jusqu'à ce que je lise la dernière  
Question :  Quel est le prénom de la femme de ménage de l'école ?  
Il s'agissait certainement d'une blague. Je l'avais rencontrée plusieurs fois. Elle était grande, cheveux foncés et dans la cinquantaine, mais comment j'aurais pu savoir son nom ?
J'ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse. Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière question comptait pour la note de l'examen. 
" Absolument " a répondu le professeur. " Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens.
Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins, même s'il s'agit simplement  d'un sourire et d'un bonjour." 
Je n'ai jamais oublié cette leçon. J'ai aussi appris qu'elle  s'appelait "Dorothée " . 

Deuxième leçon
>importante - L'aide sous la pluie.  
Dans la soirée, vers 23h30, une femme âgée noire se tient le long d'une  >autoroute de l'Alabama tentant de se protéger de la pluie battante.
Son  auto est tombée en panne et elle a désespérément besoin d'un transport.  
Détrempée, elle décide de demander l'aide de la prochaine voiture qui passe.
Un jeune homme blanc s'arrête pour lui porter secours, situation  >très peu courante dans les années 60 troublées de conflits raciaux.
Le  jeune homme l'amène en sécurité, l'aide à trouver du secours et lui  procure un taxi.
Elle a l'air très pressée, mais prend  le temps de noter son adresse et le remercie.  
Sept jours plus tard, on vient cogner à la porte du jeune homme.
À sa grande surprise, on lui livre une télévision couleur  grand format.
Une note y est attachée.  >
Elle dit : " Merci beaucoup de m'avoir porté secours sur l'autoroute  l'autre jour.
La pluie avait transpercé nonseulement mes vêtements mais  >aussi mon esprit.
Puis vous êtes arrivé Grâce à vous, j'ai pu me rendre  au chevet de mon mari mourant juste avantqu'il ne rende l'âme.
Dieu vous bénisse pour m'avoir aidé et pour votre dévouement pour les autres.  
Bien à vous, Mme Nat King Cole.
 
Troisième leçon importante - Pensez toujours à ceux qui servent.  
À l'époque où un sundae de crème glacée coûtait beaucoup moins, un petit garçon de 10 ans entre dans le café d'un hôtel et s'assoit à une table.
Une serveuse dépose un verre d'eau devant lui. 
 Madame, c'est combien pour un sundae de crème glacée ? " demande-t-il.  >
" 50 cents ">répond la serveuse. 
Le petit garçon sort la main de sa poche et se met à examiner la monnaie  >qu'elle contient.  > 
 Bien, combien pour un simple plat de crème glacée ? " demande-t-il.  
À ce moment il y a des gens qui attendent pour une  table et la serveuse commence à perdrepatience.  >
" 35 cents " répond-elle sèchement.  >
" Je vais prendre leplat de crème glacée " dit-il.  > 
La serveuse lui apporte sa crèmeglacée, dépose l'addition sur la table  et s'en retourne.
Le garçon finitsa crème glacée, paie à la caisse et s'en va.
Quand la serveuse revient,elle a la larme à l'oeil en  nettoyant la table :
Bien placé au côté duplat vide, il y a 15 cents. 
Le petit garçon ne pouvait pas prendre le sundae parce qu'il devait lui  rester suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire...  >
 
Quatrième leçon importante -
Donner quand ça compte.  >
Il y a plusieurs années, quand je travaillais comme bénévole dans un  hôpital, j'ai connu une petite fille qui s'appelait Lize,
elle souffrait  d'une sérieuse maladie rare.
Le seul espoir qu'elle s'en remette  semblait être qu'elle reçoive une transfusion sanguine de son petit  >frère de 5 ans qui avait miraculeusement survécu à la même maladie
et  avait développé les anti-corps requis pour lacombattre.  > 
Le médecin expliqua la situation au petit frère et lui demanda si il  serait prêt à donner son sang à sa soeur.
Je l'ai vu hésiter un instant  avant de prendre une grande respiration et répondre :
" Oui je vais le  faire si c'est pour la sauver. "  >
Au cours de la transfusion, il était étendu dans un lit au côté de sa  soeur et il a souri, comme nous tous,
quand il a vu sa  soeur reprendre des couleurs. 
Puis il a pâli et son sourire s'est fané. Il a levé les yeux vers le médecin et lui a demandé d'une voix tremblante :
" Est-ce que je vais commencer à mourir tout de suite ? "
Étant jeune, le petit garçon avait mal compris le médecin ;
il croyait  qu'il devait donner à sa soeur tout son sang pour la sauver.  >

  • Une petite histoire interessante...
Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils à la
  campagne pour lui montrer comment vivent les pauvres.
 
    Ils passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a
  pas beaucoup à leur offrir.
 
    Au retour, le père demande à son fils. : "As-tu aimé ton séjour?"
 
    "C'était fantastique papa!"
 
    "As-tu vu comment vivent les gens pauvres?" Demande encore le père.
 
    "Ah oui!" Répond le fils
 
    "Alors qu'a-tu appris?"
 
    Le fils lui répond "J'ai vu que nous n'avions qu'un chien alors qu'ils
  en ont quatre.
 
    Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils vont
  dans une grande crique sur la mer.
 
    Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles
  partout dans le ciel.
 
    Nous avons une immense galerie à l'avant et eux ont l'horizon.
 
    Nous avons un domaine mais eux ont des champs à perte de vue.
 
    Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres.
 
    Nous achetons nos denrées et eux les cultivent.
 
    Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger.
  Eux ont des amis qui les protègent."
 
    Le père en resta muet.
 
    Le fils rajouta, "Merci Papa de m'avoir montré tout ce que nous
  n'avons pas".
 
    Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous
  morfondre sur ce que nous n'avons pas.
 
    Ce qui est un objet sans valeur pour l'un peut très bien être un
  trésor pour un autre. Ce n'est qu'une question de perspective.
 
    C'est à ce demander ce qui arriverait si on rendait grâce
  pour tout ce que nous avons au lieu d'en vouloir plus.
 
    Apprenez à apprécier ce que vous "avez" au lieu de gémir sur ce que vous aurez pu avoir.
    A chaque jours suffit sa peine.
 

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.    
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre.   
L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.

Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.    
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.   
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. 

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.   
> > > Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.    
Les jours et les semaines passèrent.   
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.  
Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. 
Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.   
L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.  
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. 
Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. 
   
Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
   
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. 
   
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle. 
   
Epilogue :   
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.    
La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.   
Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter. 
 
Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.  


    

Un jour les outils d'un charpentier tinrent une conférence.

  Le Marteau prit la parole le premier, après avoir frappé assez fort pour faire régner le silence dans l’atelier, il dit: ‘ Il a été porté à ma connaissance qu’il y a des plaintes parmi vous, frères outils, donc j'ai pensé que le

      mieux serait d’en discuter ensemble, ouvertement, franchement..  Soyez attentifs, vous tous, frères outils. Quelle est ta plainte frère scie ? ' ,

 

Le frère scie se lève furieux et dit: ‘c’est le petit frère Crayon, il rn 'agasse, il énerve tout le monde; il est si petit qu'il n'est pas facile à trouver lorsqu'on a besoin de lui, et quand on le trouve, il est toujours mal taillé, ses inscriptions ne sont pas toujours bien claires.  A coup sûr, il a besoin d'être taillé au bout s’ il veut être encore utile parmi nous. ' 

 

Le petit frère crayon se lève tout doucement et répond: ’ Oui, je suis petit et mal taillé au bout, mais je suis devenu ainsi car je suis depuis très longtemps dans le service. Cependant, moi je ne suis pas comme le frère vilebrequin avec ses mèches, il tourne toujours en rond, toujours sur place; pour moi il est très fatigant, cela me met hors de moi.’’

 

Le frère vilebrequin avec ses mèches se lève et répond: ' 'Oui, nous le savons, nous avons une réputation de tourner toujours en rond, de faire des tous, mais nous ne sommes pas comme frère Rabot, lui, il faut toujours le pousser pour lui faire faire quelque chose; et de plus, son travail est superficiel, toujours à la surface, il n'a pas de profondeur. Nous, nous faisons des trous en profondeur! ',

 

Tous les yeux se tournent à présent vers le frère Rabot pour voir sa réaction ;

  Vite le frère Rabot répond: ' Frères, je ne suis pas le seul qu’on doit pousser pour le faire travailler, ou qui n , a pas de résultat en profondeur. Mais le frère Papier de verre est pire que moi regardez comme il est rugueux" je ne peux même pas me mettre près de lui, il me fait mal avec sa surface rugueuse.Je n ' arrive pas à comprendre qu’il réussisse dans son service, rugueux comme il est’.

 

Cette remarque rend frère Papier de verre très furieux, et il se met à crier : ‘’Frère Rabot est jaloux, c'est tout.

  Et puisque tout le monde se plaint, j'ai quelque chose à dire contre frère Mètre; il me fait bouillir de colère, il est toujours en train de mesurer comme s'il était le seul à avoir raison parmi nous. '’  

 

La colère commence à gronder dans cet atelier du charpentier ; tous les outils ont des plaintes légitimes l'un envers l'autre.

  Le frère Niveau, lui toujours si exact et droit, est exaspéré et décide de partir, pensant qu'il est désormais inutile pour le service quelconque.

 

Alors quelqu'un entre dans l’atelier, devinez qui ? Le Maître lui-même, le charpentier, il est venu travailler.

  Son père lui avait demandé de construire une maison pour qu'ils puissent ensemble, elle est presque terminée.

   Le charpentier se met au travail, pour ce faire il utilise le marteau, le crayon, la scie, le vilebrequin, le rabot, le

      papier de verre, le mètre ainsi que tous les autres outils.

 
Mais voici que le père du charpentier arrive, il exprime une grande joie en voyant son fils travailler, et il lui dit,

      Comment, mon fils, est-tu arrivé à faire cela ? ' ,

 
le fils lui répond: ‘ J'ai utilisé tous ces outils que j'ai achetés, sans eux, je n'aurais rien pu faire.Tu sais je les aimes beaucoup, j'ai payé le prix, ils me coûtent très chers, mais ils ont beaucoup de valeur pour moi.’’

 

Regarde le marteau, là-bas, il m’est très utile pour démolir mais aussi pour rebâtir, il frappe dur sur la tête des clous, c’est un bon travailleur.

  Plus loin, il y a la scie, cet outil met toujours au service toutes ses dents, il va et vient sans cesse dans le même territoire; son travail est très efficace.

Et ça, je suis très content d’avoir ce petit crayon, bien qu’il soit petit et qu’il faille le tailler de temps en temps, il me rend de grands service, il m’ est très utile pour marquer le travail.

  Voilà un autre, ici, dont je ne pourrais plus me passer, c’est le vilebrequin; il est très utile pour toucher en profondeur, puis il laisse une voie pour poursuivre le travail. ;

   Regarde là le rabot, lui aussi, est très utile dans l’atelier, il est très doux, il ne prend jamais beaucoup à la fois dans son service, et il est très bon pour surmonter les obstacles.

   Et ici, le niveau, lui également m’est très utile; il a bon a'il, il a un esprit très équilibré; de même, le mètre, bien que petit, m’est très utile, il s’étend pour faire face aux exigences, et est très précis dans ces comptes rendus.

   Egalement le papier verre, bien qu’il soit rugueux, il produit cependant un excellent résultat malgré sa rudesse.

   Je suis vraiment reconnaissant à chacun de ces outils que j’ai achetés à grand prix; tu vois c’est parce que je suis en possession de toute cette variété d'outils que j’ai pu édifier cette belle construction selon tes plans.

   Comme je suis reconnaissant d’avoir eu le concours de tous ces outils! Permets- de te montrer le résultat.,

 

Alors que le père et le fils quittent l’atelier, une ambiance de fête commence à régner dans l’atelier.

  Tous les outils du charpentier sautent de joie, encouragés par ce qu'ils venaient d'entendre et par les compliments du charpentier lui-même.

 

Le frère Marteau se lève à nouveau et dit: '  Frères je constante avec vous que nous sommes tous utiles, qu' on a besoin de chacun de nous.

Le billet de 20$  

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20.00 $.  Il demande aux gens :

- Qui aimerait avoir ce billet ? Les mains commencent à se lever.  Alors il dit :

- Je vais donner ce billet de 20.00 $ à quelqu'un de vous, mais avant laissez-moi d'abord faire quelque chose avec.

 Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :

- Est-ce que vous voulez toujours ce billet ? Les mains continuent à se lever.

Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela ? Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.

 
Ensuite il demande :

- Qui veut encore avoir ce billet ?

Evidemment, les mains continuent à se lever ! Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé. Il vaut toujours 20.00$

 
Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements.

Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien, mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment ! La valeur d'une personne ne tient pas à ce qu'elle a fait ou n'a pas fait.

 

Vous pouvez recommencer et atteindre un jour vos objectifs car votre valeur intrinsèque demeure toujours intacte.

LE GÂTEAU DU ROI

 

Pour nourrir votre cœur et réjouir votre esprit,

 Achetez sans argent les neufs plus jolis fruits.

 Prenez beaucoup d'amour même poids de douceur,

 Vous pouvez en trouver chez tous les gens de cœur.

 Ajoutez votre foi, ensuite la bonté,

 Vous devez obtenir la longanimité.

 Doucement à présent mêlez la bienveillance,

 Surtout ne doutez pas de votre compétence.

 Cependant si vos gens sont de très fins gourmets,

 N'oubliez pas d'y ajouter quelques zestes de paix.

 Parsemez largement le tout de votre joie,

 Avec ou sans éclat de rire à votre choix.

 Conservez en gardant la maîtrise de soi.

 Votre dessert est prêt : c'est le gâteau du Roi.

 Boisson conseillée :

 Eau de vérité - servir très frais ou très bouillant.

LE SCORPION

  1)    Une réflexion dont nous avons besoin, lorsque nous sommes déçus par la réponse des autres.

 2)    Un sage oriental vit qu’un scorpion était en train de se noyer et décida de le sortir de l’eau, mais lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua. En réaction à la douleur, le sage le jeta et l’animal tomba dans l’eau et recommença à se noyer. Le sage tenta à nouveau de le sauver et à nouveau le scorpion le piqua.

 3)    Quelqu’un qui avait tout observé s’approcha du sage et lui dit : « Pardonnez-moi maître, mais vous êtes têtu ! Vous ne comprenez pas que chaque fois que vous tenterez de sortir de l’eau le scorpion il vous piquera !

      Le sage répondit : « La nature du scorpion est de piquer, il ne va pas changer sa nature et cela ne changera pas la mienne qui est d’aider et de servir. Et, s’aidant d’une feuille, le sage sortit le petit animal de l’eau et lui sauva la vie.

 4)    Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait du mal, seulement prends des précautions.

 5)    Certains cherchent le bonheur, d’autres le rejettent. N’oublie jamais cela !

 6)    Ne permets jamais que la conduite des autres personnes conditionne la tienne. Simple, ne crois-tu pas ?

 7)    Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille et une raisons pour lesquels sourires ! Rappelle-toi que si ton âme un jour a eu mal, c’est parce que Dieu t’a saisi le bras trop fort pour que tu ne tombes pas

LES MATHS METHODE CHOCOLAT !

 Comment calculer son âge par le chocolat...

Ne me donnes pas ton âge; tu me mentirais certainement... 
  

Tu vas voir ça marche à tous les coups.

Ne triche pas en regardant au bas de la page!

Cela prend seulement une minute.

Fais les calculs en continuant.

Ne regarde pas au bas de la page avant d'avoir fini tous tes calculs.

Je te promets que ça marche !

1. Choisi le nombre de fois que tu voudrais manger du chocolat chaque semaine (plus d’une fois et moins de 10 fois).

2. Multiplie ce nombre par deux (pour être plus près de la réalité)

3. Ajoute 5

4. Multiplie par 50 — Oui, tu peux te servir d’une calculatrice. 

5. Si tu as déjà célébré  ton anniversaire cette année, ajoute 1760. Sinon, ajoute 1759.

6. Maintenant, soustrais les 4 chiffres représentant l'année de ta naissance.

Tu devrais obtenir un numéro à trois chiffres.

 

Le premier chiffre est le nombre de fois que tu veux manger des chocolats chaque semaine.

Les deux autres chiffres représentent...

 

ton âge! (mais oui, avoue le!!!)



 


 
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